Après de longues vacances bien méritées, le Lapin Nucléaire se remet au travail. Je suis alors fier de vous annoncer la sortie du numéro spécial rentrée (le jeu de mot présent dans cette phrase mérite un prix nobel à lui seul, tu es prié de relire si tu n’as pas compris).
Comme d’habitude, on fait la révolution, on picole et on rigole.
Comme d’habitude, si vous etes en Charente-Maritime ou sur Paris, vous pouvez nous contacter pour avoir la version papier!
Fruit de longs mois de travail, ce numéro est prévu depuis longtemps mais n’est pas très épais pour autant; on peut le considérer comme le numéro de juin, il n’y aura donc pas de numéro en juillet, ni en aout.
Il raconte un temps que les moins de 20 000 ans ne peuvent pas connaitre, la légendaire guerre entre les lapins nucléaires et les blaireaux radioactifs parce que les blaireaux on peut pas les blairer (ici, ce serait gentil de rigoler).
Voilà, au passage, j’annonce le très regretté départ du Professeur GID.
Bonnes vacances à vous!
Comme le précédent est sorti en avance, il fallait bien sortir celui-là en retard, pour des raisons d’image de marque. Du coup, après des heures entières passées à raconter des blagues de bas-étage en écoutant du rock alternatif. Après des journées à lire Marx et Debord (en BD) et à étudier du pollen.
Le voilà enfin!
Comme vous l’avez peut-etre remarqué, ce numéro 5 est sorti… En avance! A croire qu’on a bien fait d’enfermer nos dessinateurs dans des caves jour et nuit. En fait, le méthodes capitalistes ont peut-etre du bon…
Comme le disaient ces très grands penseurs qu’étaient les chasseurs de mon village: “Les lapins c’est comme les femmes, si t’attends trop pour les tirer, c’est foutu!”
Alors n’attends plus:
Telcharge-le
Le numéro 4 bientôt disponible!!!
Salut à tous camarades!
Pour ceux qui ne connaissent pas le Lapin Nucléaire, nous sommes un fanzine libertaire; avec des lapins, des beatniks, des prophètes et de la révolution.
Pour ceux qui connaissent (oui, toi là!), voilà les liens pour lire ou télécharger les numéros publiés jusqu’à maintenant:
Pourquoi un site web? Parce que c’est Butterfly qui a proposé et qu’on l’aime bien. C’est aussi pour ne plus avoir à se contenter d’une page facebook (c’est mal!) comme seul lien avec le monde.